BDSM : les besoins du soumis et du dominant

Dans une séance BDSM, d’une première apparence, le soumis sert le dominant sur la base du consentement.

Mais la réalité, plus profonde, est que le dominant aussi bien que le soumis sont au service de la dynamique de l’échange de pouvoir lui-même.

Le Power exchange est un jeu de réciprocité et de partage qui doit apporter de la satisfaction aux partenaires.

C’est un espace temps ou il est possible de se nourrir abondamment, physiquement, émotionnellement, intellectuellement et spirituellement.

La première des trois étapes du processus BDSM est la négociation.

C’est le moment dédié à établir le cadre et les règles du jeu.

Mais avant de développer cette phase, il convient de définir quelques prérequis.

La pratique BDSM est une expérience humaine. Elle vise à répondre à des besoins humains fondamentaux, des dimensions intérieures ataviques qui sont rarement explorées et nourries.

Je vais donc consacrer un préambule important pour définir la nature de ce que sont ces besoins. Ceux du soumis et ceux du dominant qui sont le miroir de l’un par rapport à l’autre.

Domination et Soumission

L’un à besoin de nourrir son dominant intérieur. L’autre à besoin de nourrir son soumis intérieur.

C’est dans la collision entre ces deux polarités qu’émerge l’échange de pouvoir.

Pour que chacun soit parfaitement satisfait, ils faut que les deux incarnent intensément leur rôle respectif.

Nous avons tous une part de soumis et part de dominant en nous. Je développerais tout cela dans le chapitre suivant.

Les besoins de domination et de soumission semblent une évidence, c’est le but le plus apparent.

Il n’est toutefois pas inutile de les mentionner parce que ces besoins se ramifient dans des dimensions plus précises

Contrôle et lâcher prise

La domination induit le contrôle.

Le besoin de contrôler, de prendre prise sur l’instant est naturel. Il permet de nourrir la confiance en soi.

Les deux protagonistes sont responsable de la qualité de la séance mais c’est le dominant qui est est en vigilance sur le bon déroulement.

Le soumis est dans le lâcher prise. C’est un besoin majeur qui est difficile à trouver. C’est l’image miroir du contrôle.

Le BDSM est la voie idéale pour entrer dans cette dimension de relachement très recherchée.

Pour que le soumis rentre dans ce lâcher prise, le dominant doit incarner sa présence et montrer qu’il contrôle, maîtrise vraiment les choses.

Si ce n’est pas le cas, le soumis le détectera assurément.

Cela peux s’exprimer de manière verbale, par des gestes precis

Le charisme et l’intensité du regard sont très signifiants dans ce domaine. Ils donnent de la crédibilité au dominant.

C’est une dimension qui ne s’improvise pas. Cela demande du travail sur soi.

Incarner le dominant réclame un apprentissage.

Il y a des moment ou le soumis est mis de coté et doit attendre. La gestion des frustrations fait aussi parti de l’apprentissage

Mais être mis de coté est une consignes claire. Ce ne sont pas des moments vides.

L’art de la domination s’aiguise et s’affine avec le temps et l’expérience.

Encadrement

Le contrôle est une dimension qui mérite d’être préciser.

Le soumis a un puissant désire de bien faire, d’incarner son rôle. Il est là pour cela et réclame un contrôle affirmé.

C’est l’endroit ou le contrôle s’incarne dans l’encadrement.

Pour que l’alchimie fonctionne, le dominant à tout intérêt à donner des ordres et des consignes claires applicables

Elles donnerons au soumis la matière pour incarner son rôle. Il cherche une ouverture maximale dans l’expérience.

Un vide dans le contrôle et la direction peut entraîner une désorientation malsaine, voir toxique.

Un dominant peut éventuellement jouer avec la dimension du vide. Ceci pour évaluer les réactions du soumis, voir si le sub prend des initiatives.

Mais ce vide peut aussi entraîner une chute du niveau de Power Exchange et décrédibiliser dominant.

Un dominant qui ne contrôle pas, n’incarne pas son rôle.

Un soumis sans direction se sent perdu.

L’encadrement découle du contrôle dans un dimension plus consciente et plus maîtrisée.

Il ne faut pas négliger l’aspect technique qu’exige la domination.

Pour rentrer dans le lâcher-prise, le soumis à besoin de rentrer dans une ouverture. Ceci exige qu’il soit en confiance.

C’est la même choses que dans le monde du travail, particulièrement à un nouveau poste.

Imaginez qu’on vous donne une tache à faire sans les infos essentielles ni les outils nécessaires pour mener les choses à bien. Vous ne savez pas comment vous positionner.

Est-ce qu’il faut demander ?

Vous avez peur de faire une erreur.

C’est frustrant, vous doutez de vous, un malaise et une insécurité s’installe. C’est toxique !

Le vide n’est pas propice à la confiance.

Un dominant qui veut un bon soumis doit lui donner les moyen de l’être.

Le service

Cette dimension concerne d’avantage une relation Master / Slave

L’intimité qui existe entre un Slave et son Maître dépassent en profondeur la dimension du dominant et du soumis. Le slave rentre dans l’intimité du Maître.

Le slave a un besoin intense de servir pour plaire et honorer son Master et ses domaines de services peuvent être très variés.

J’ai conscience que je sors ici du cadre de projection d’une séances BDSM. Mais je souhaite ouvrir quelques perspective.

Au delà de la sphère physique sexuelle qui concerne également le soumis, le slave mettra ses talents personnels à profit.

Le besoin de servir peut s’exprimer dans des taches domestique de ménage, ou dans l’acte plein d’amour de cuisiner pour le Maître.

Le slave voudra probablement s’investir dans le donjon de son Maître avec de une participation matérielle ou financière, l’aide dans divers travaux pour le donjon.

C’est aux Master d’identifier les talents pour lui permettre de s’exprimer pleinement dans le service. Cela demande un degrés supérieur dans une confiance fondée sur une plus grande intimité.

Personnellement, j’adore me faire laver par mes slaves.

Et dans les taches domestiques, j’éprouve un énorme plaisir à voir un slave occupé a l’entretiens de mes cuirs.

C’est aussi très agréable d’avoir un slave qui sert à table lors d’un repas avec des amis initiés.

Ce sont quelques perspectives d’un fonctionnement plus profond.

Focus

Lors de la rencontre le soumis a besoin de se focaliser sur son dominant et le dominant de se focaliser sur son soumis.

Le Power exchange est un territoire cérébral et émotionnel ou l’un se projette vers son partenaire.

Chacun est le totem de l’autre .

Les attentes mutuelles peuvent être très grande.

Nous sommes habitué par notre société à nous servir, à prendre avec une avidité qui peux être toxique.

Dans le Power exchange, la clé est de comprendre que c’est le don qui active le focus.

Offrir sa présence en intensité, je dirais même avec passion, est une clé majeure.

Pour recevoir il faut premièrement savoir offrir.

confiance

La confiance est le fondement d’une pratique BDSM constructive et équilibrée.

C’est le besoin le plus essentiel.

De toute manière sans confiance, il n’y aura pas d’échange de pouvoir. C’est aussi simple que cela. C’est le besoin premier des partenaires dans le power exchange.

Le soumis doit être en confiance sur le point fondamental que ses limites et son consentement seront parfaitement respectés lors de la rencontre.

Il aura un ou plusieurs mots de sécurité ou d’autres formes de codes d’alerte pour sa tranquillité d’esprit. Je developperais ce point particulier plus loin.

Mais on oublie souvent que le dominant, lui aussi, a besoin de se sentir en confiance et en sécurité.

J’ai eu l’occasion à mes début de dominant, maîtrisant mal les codes, de recevoir des personnes pas toujours équilibrées à différents niveaux. Et sans me sentir en danger, de ressentir parfois un profond sentiment de malaise profond.

Faire un correctement un négociation permet de détecter beaucoup de choses et de se prévenir de mauvaises rencontres.

Des soumis qui viennent dans mon donjon me racontent parfois de mauvaises expériences, parfois traumatisantes.

Ce n’est pas fréquent, mais cela arrive.

En creusant un peu, il y a toujours un point commun. La négociation a été systématiquement bâclée ou inexistante

Il faut se rendre compte qu’une mauvaise expérience peu induire une crainte et bloquer la fluidité pour des expériences futures.

Abîmer la confiance est une chose grave qui a des conséquences

Êtres en confiance doit produire une stimulation, une envie, un enthousiasme.

Allez voir votre dominant avec une mauvaise appréhension, de l’angoisse, est le signe que quelque chose ne va pas.

D’autre part, il me semble cohérent de ne jamais réclamer la confiance d’un soumis.

Pourquoi ? Parce que lorsqu’on réclame ma confiance, ça allume une alerte et ça produit même l’effet inverse.

La confiance est quelque chose qui se construit. Elle ne se décide pas, elle s’impose avec le temps, pas à pas, progressivement.

C’est au soumis d’offrir librement sa confiance. Elle ne doit pas être exigée.

La confiance est un sujet extrêmement important. C’est un besoin fondamental, essentiel, primordial. C’est probablement le sujet le plus important de cet ouvrage.

Si vous êtes soumis débutant, vous vous poserez très certainement cette question :

« Je vais vivre ma première expérience, comment être en confiance ? »

C’est une excellente question !

Déjà je développerais l’art de la négociation au prochain chapitre. Cela vous donnera des clés. Vous pourrez poser le cadre d’une expérience équilibré avec les codes et protocoles de sécurité nécessaires.

Cela vous permettra de mesurer si le dominant en face gère les choses correctement ou pas.

Il ne faut pas non plus rentrer dans la paranoïa. Les mauvaise expérience sont marginales et souvent le fruit d’un négociation absente ou mal faite.

Si vous négociez avec application, vous assurez votre sécurité.

Il ne faut pas non plus plus imaginez que vous ne serez pas tendu avant la première rencontre. C’est un moment initiatique donc vous ressentirez une tension plus ou moins forte. C’est normal et cela fait parti du jeu.

Ne laisser pas le moulin du mental tourner en roue libre non plus. Sinon vous ne parviendrez jamais à rentrer dans l’expérience.

En tout cas vous avez deux composantes essentielles, un cerveau et un instinct. Il vous faudra écouter les deux pour faire une synthèse équilibrée. Et sur cette synthèse, avoir confiance en vous même pour oser vous lancer.

Communication

Le dominant et les soumis on une nécessité à communiquer. Le BDSM est basé sur la communication.

Un soumis a le droit et le devoir d’utiliser un mots de sécurités ou d’utiliser une code d’alerte à tout moment s’il en éprouve le besoin. C’est une règle absolue.

Mais sous cette règle, une soumis lors d’un rituel BDSM, peux ne pas être autorisé à parler. Il faut maintenant définir que communiquer est bien plus que parler. La communication corporelle est très importante.

Je mentionne la communication ici parce que c’est un besoin fondamental pour les partenaires.

Le BDSM est un terrain d’interactions.

Dans ma pratique, mes soumis et slaves sont limités en parole.

Mais même si je limites les mots, j’ai besoin de feed back.

Il n’y a rien de plus perturbant pour moi dans ma position de Master qu’un sub impassible.

Limiter l’expression verbale n’est absolument pas supprimer la communication et l’echange.

Le feedbak est essentiel pour le dominant

Limiter les mots est l’endroit pour développer un autre langage, plus animal, premier, sincère, primal !

Les regards, les grognements, les gestes, les gémissements sont des vecteurs puissants d’interactions sensuels et érotiques.

Je développerais cette dimension ultérieurement dans les chapitres qui concernent la séance let l’after care.

Se connaître

Nous avons besoin de nous connaître nous même, de nous reconnaître.

Le BDSM est une voie magnifique pour explorer nos limites et se dépasser.

Voici l’inscription au seuil du temple grec antique de Delphe

« Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’univers et les Dieux »

Bien entendu, le BDSM n’est pas une spiritualité, encore moins une religion.

Il est hors de question ici de rentrer dans un délire mystique sectaire. Mais on ne peut nier qu’il y a une dimension spirituelle dans le BDSM.

Transcendance

Le soumis éprouve souvent un besoin de dépassement, une volonté d’explorer ses limites.

La douleur est une voie royale pour cela. Mais tous les soumis ne sont pas maso.

L’apprentissage de la douleur est incontournable dans ma pratique.

Elle est parfaite pour purger les tensions et la dépression, pour créer du lien affectif.

Il faut savoir présenter correctement les choses, savoir être pédagogue et progressif. Il est aussi important de comprendre que l’exploration de la douleur n’a rien a voir avec une quelconque violence ou toute forme de brutalité toxique.

Je suis bien placer pour comprendre ce domaine puisque je suis un Master sadique et aussi un soumis Maso.

Lorsque je switch en slave rien ne m’intéresse d’autre que de recevoir de la douleur. Et ceci non pour la douleur elle même mais pour la détente quelle produit durablement après. Lorsque j’ai un coup de mou, physique ou moral, c’est ce qui me remet droit dans mes bottes.

Les personnes qui craignent le plus la douleur sont souvent celles qui en on plus besoin. Vaincre la peur est un des grand but initiatique du BDSM.

Certains soumis trouveront leur dépassement dans l’entrave, le bondage, l’isolement, la privation sensorielle, la séquestration.

Ces dimensions du BDSM ne sont pas mes kinks. Il ne répondent simplement pas à mes propres besoins. Mais je comprend qu’ils aient un sens puissant et profond pour d’autres kinkters.

Mon Maître est Switch également.

Lorsqu’il passe en soumission, son attrait va vers la séquestration.

Il lui arrive de partir à l’étranger pour ce faire séquestrer une semaine entière.

Mon Maître est une personne hyperactive. La séquestration est le moyen pour lui de parvenir, par le power exchange, à casser son rythme et à s’obliger à stopper complètement toute activité, pour trouver le repos.

Ceci n’est pas si éloigné du processus de Quête de Vision. L’individu s’isole pour retrouver son centre.

Un autre cas de figure est celui d’une personne qui est en responsabilité dans la vie, avec une image forte à présenter et représenter publiquement, socialement.

Cette personne pourras trouver dans la dégradation une déprogrammation pour relâcher la pression et se rééquilibrer.

La société, l’image sociale qu’on projette sur nous est une pression et cette pression peu devenir insupportable.

Le processus de dégradation dans le BDSM est un excellent moyen de casser les schémas imposés et de relâcher la pression. Ceci peux passer par l’insulte, des pratiques de sexe crade, etc…

Ce sont des processus de transcendance. Il n’ont pas à être jugé, encore moins condamnés. Ils répondent simplement au besoin de retrouver un équilibre.

D’un point de vu extérieur, les kinks sont parfaitement incompréhensibles. Pourtant il ont un sens réel et une logique profonde.

On retrouve certaine de ces résonances dans les rituels chamaniques de peuples premiers.

Nos sociétés modernes sont désacralisées. L’humain a besoins de rites. Le BDSM est une bonne voie pour retrouver et se réapproprier nos rituels.

Le besoins de transcendance peut aussi trouver un application dans des prises de décisions de la vie quotidienne et peuvent être établis en projets entre un Master et son slave.

Un slave peu avoir envie d’arrêter de fumer mais n’y arrive pas de lui même et pour lui même.

Il pourra trouver la force de se libérer, s’il prend la décision de le faire, sous le regard et l’autorité de son Maître, dans le cadre de l’échange de pouvoir.

Je connais un slave qui fait un programme sportif de remise en forme et de perte de poid sous l’autorité de son Maître.

Un Maître est un coach, un mentor.

Appartenance

Ce besoin ne concerne pas le dominant et le soumis.

Mais elle est fondamentale dans la dimension Master / Slave

Le rapport d’appartenance est la différence cruciale entre ces deux formes d’échange de pouvoir.

Un Master à besoin de sentir que son slave lui appartiens et un slave à besoin d’appartenir à un Maître.

C’est la raison pour laquelle je me sens slave. J’ai besoin de sentir que j’appartiens à Mon Master. D’ailleurs je ne l’appelle Maître, mais Mon Maître. Lui ne m’appelle pas chien, mais mon chien.

Il n’est pas une question de possession, mais d’appartenance. Saisissez vous cette puissante nuance ?

Cette dimension peut s’incarner dans l’esprit de clan d’une famille BDSM. C’est un territoire de grande affection. C’est ce que je vis.

C’est l’essence d’INSIDIOME

Je sors ici un peu du cadre de la thématique. Mais cela méritait d’être mentionné.

Je voulais vous offrir cette perspective.

Insidiome : Lettre de nouvelle #2

Bonjour chers lecteurs et lectrices d’Insidiome,

2021 est arrivée après une année compliquée pour les raison que nous connaissons.

J avoue que j’ai pour ma part avoir terminée 2020 avec un certain enthousiasme.

J’ai lancé officiellement le blog en Novembre et les choses ce sont rapidement enchaînés.

Je vous souhaite le plus chaleureusement du monde le meilleur du Fetish, des plaisirs kinks, de la créativité dans vos projets et surtout la santé.

J’en profite également pour saluer et souhaiter la bienvenue aux nouveaux inscrits qui sont de plus en plus nombreux.

Je vous remercie pour tous vos retours qui ont été riches, nombreux et bienveillant. Ça me motive et ça me fait un bien fou en ces temps moroses. Je ne m’attendais pas une tel retour d’’énergie. C’est formidable.

Le projet Insidiome s’est ramifié, et c’est en partie grâce à vous.

Voici les nouveautés :

– Suite à la disparition d’un groupe facebook pour les dominateurs et les soumis, et après consultation, j’ai lancé un nouveaux groupe dédié : Gay dominateurs et soumis francophones

– J’ai souhaité réviser la charte graphique du blog dans un esprit plus comics en noir et blanc. La mise en place et encore en train…

– Dans cet esprit graphique arty, j’ai lancé une chaîne porn sur Xvideos

Je souhaite que cette chaîne reste séparée pour ne pas diluer l’aspect informatif du blog.

– En ce qui concerne l’atelier, j’ai eu le plaisir de rencontrer et d’échanger avec des dominas et d’étendre ma créativité vers de nouveaux projets. Je suis gay mais j’aime la mixité. C’est un plaisir d ‘étendre mon expérience de création « fetish » avec les femmes.

J’explore de nouvelles techniques et de nouveaux matériaux. L’année 2021 sera riche de nouvelles créations.

– Enfin, ce blog et ses ramifications me permettent de communiquer avec beaucoup de soumis et de dominateur. Le constat est lourd et cruel. Le monde de la nuit se relèvera difficilement de cette pandémie et de la gestion de cette crise sanitaire. Les lieux « fetish » et BDSM sont déjà rare.

Le besoin de nous retrouver est criant, hurlant même.

Je réfléchis sérieusement à organiser des événements dédiés ponctuelles pour que nous puissions nous retrouver entre kinksters.

La situation ne le permet pas mais c’est un bon temps pour essayer d’imaginer des projets. C’est important de rester créatif et de se projeter dans des perspectives.

– J’ai encore d’autres dimensions d’exploration en attente mais il est trop tôt pour les dévoiler.

Cette lettre touche à sa fin.

Il y aura donc bientôt de nombreuses nouveautés. Restez donc connectés au blog Insidiome !

Je vous souhaite une bonne et heureuse année 2021

Sam